Le 01 janv. 1970
Mis à jour le 29 juil. 2021
Mis à jour le 29 juil. 2021
Dans les écuries, Pascal Pesez montre un ensemble de polyptyques monumentaux qui, tels des retables, s’ouvrent pour déployer de vastes étendues baignées d’une lumière froide. Comme chez Tal Coat, semblent émerger de ces paysages des figures que l’on ne saurait nommer précisément. Se joue, chez les deux artistes, la même question du rapport au réel : un ancrage très fort dans le monde (dans une matière, une lumière, un paysage, de vastes étendues de champs et de ciels) et une relation toute personnelle qui engage profondément quelque chose du corps, et de la figure.
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